Page:Drumont - La France Juive édition populaire, Palmé 1885.djvu/152

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de tous les peuples : c’est un forain, quelque chose comme le circulator antique.


L’admission de cette espèce d’hommes dans une société politique ne peut être que très dangereuse. On peut les comparer à des guêpes[1], qui ne s’introduisent dans les ruches que pour tuer les abeilles, leur ouvrir le ventre et en tirer le miel qui est dans leurs entrailles. Tels sont les Juifs, auxquels il est impossible de supposer les qualités de citoyens que l’on doit certainement trouver dans tous les sujets des sociétés politiques.

De l’espèce d’hommes dont il s’agit aujourd’hui, aucun n’a été élevé dans les principes d’une autorité légitime. Ils croient même que toute autorité est une usurpation sur eux, ils ne font de vœux que pour parvenir à un empire universel ; ils regardent tous les biens comme leur appartenant, et les sujets de tous les États comme leur ayant enlevé leurs possessions.


Ces marchands du dix-huitième siècle, moins sots que nos boutiquiers d’aujourd’hui, qui consentent à se laisser chasser de chez eux pour faire place à des envahisseurs, indiquent en des termes dignes de Toussenel ce don d’agrégation qu’ont les Juifs, qui s’attirent entre eux et se coalisent contre ceux qui leur ont donné l’hospitalité. Ce qu’ils écrivent à propos des fortunes faites honnêtement par le travail, est en quelque sorte comme le testament des vieux commerçants parisiens, si probes, si consciencieux, si éloignés de tous les procédés de réclame éhontée qu’on emploie maintenant pour vendre de la camelote, et qui font regarder Paris par les touristes comme un vrai repaire de brigands.

  1. C’est l’idée que les Allemands expriment d’une façon plus pittoresque encore en appelant le Sémitisme : l’Araignée d’or juive {die judische Goldspinne).