Page:Drumont - La France Juive édition populaire, Palmé 1885.djvu/371

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Depuis Turquet et Proust, rien de ce qui touche au Louvre ne se fait nettement, directement. En Alsace, un paysan ne peut vendre sa vache sans recourir à l’intermédiaire d’un Juif. Avec un budget de plus de trois milliards, l’État ne peut plus acheter simplement une œuvre de maître après l’avis des hommes compétents ; il faut toujours qu’un Juif intervienne là-dedans, pour truquer, troquer, tromper.

Quand les Juifs auront réalisé leur rêve d’imposer comme directeur du Louvre un des leurs, dont chacun prononce le nom. et qui serait déjà installé si Proust fût resté ministre des Beaux-Arts, ils déménageront le Musée en deux ans, et substitueront des copies aux originaux sans que vous vous en aperceviez. Vous n’y verrez que du feu, et toute la presse, les journaux catholiques en tête, déclareront que ce directeur est le plus grand des directeurs passés, présents et futurs.


III


Les courses sont plus ruineuses encore pour les hommes que l’amour des faux bibelots. Le bookmaker, qu’un homme d’esprit a appelé un pick-pocket arrivé, est d’ordinaire un Juif anglais. Le propriétaire d’une des principales écuries de courses est un Israélite, mêlé à l’affaire du Honduras et condamné, au mois de mai 1856, à deux ans de prison pour abus de confiance. Chacun connaît cette histoire. On a publié une lettre du duc Decazes, du mois de juin 1875, qui prouve le fait jusqu’à l’évidence. On tolère néanmoins cet intrus, parce qu’il est Juif, et le Clairon l’appelait de temps en temps notre sympathique propriétaire éleveur X. Nos élégantes continuent à porter, quand le cheval a été vainqueur, les couleurs d’un escroc, comme leurs