Page:Drumont - La France juive, tome premier, 3eme édition, 1886.djvu/113

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Le vice cependant a chez les Juives un caractère particulier. Sans savoir si le fait est vrai ou non pour Rappaport, il est certain qu’un père et une mère juifs vendent parfaitement leurs filles quand ils sont pauvres, tandis que dans nos grandes villes, nos pauvres, hélas ! Se contentent, faute de surveillance, de les laisser se livrer au premier venu. Les courtisanes juives se prostituent pour de l’argent, mais froidement, sans l’ombre d’ivresse, avec l’intention bien arrêtée de se marier quand elles auront ramassé un pécule, elles épousent alors un comédien, un négociant, un financier.

L’an dernier, on jugeait à Vienne (Autriche) une bande d’escrocs qui, associés à des filles, avaient fait d’innombrables ravages.

Au cours des débats, l’avocat, chargé de la défense d’une des accusées, le Juif Glaser dit : Toute femme a le droit de vendre son corps et de tâcher d’en tirer le meilleur parti possible.

Le public révolté se mit à pousser des clameurs. Le président exprima son indignation. Glaser était cependant dans la pure tradition sémitique. Les hiérodules, les prostitutions dans les temples de Cypre et de Paphos ne se rattachaient en rien à la religion de la Grèce, elles étaient d’origine exclusivement phénicienne.

La prostituée, d’ailleurs, sert Israël à sa façon, elle accomplit une sorte de mission en ruinant, en poussant au déshonneur les fils de notre aristocratie, elle est un merveilleux instrument d’information pour la politique juive.

La femme juive de la classe aisée vit à l’orientale, même à Paris, fait la sieste l’après-midi, garde je ne sais quoi de fermé et de somnolent. Elle est étrangère aux passions vio-