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la france juive

Dieu qu’ont prié vos pères, ne vous sentez-vous pas plus heureux que cet apostat qui baise la main du bourreau du Christ pour une poignée d’écus qu’on lui jette avec dégoût ? Croyez-vous que le vieux pasteur dépouillé par Goblet, le pauvre prêtre de Savoie auquel le misérable Isaïe Levaillant a volé son petit traitement, qui disent leur benedicite devant un morceau de pain noir, n’ont pas l’âme plus tranquille au fond que cet académicien riche, bien renté et ami des Rothschild ?

Les défauts du Sémite expliquent que l’antagonisme naturel qui existe entre l’Aryen et lui se perpétue à travers les siècles.

Si vous voulez comprendre l’histoire du moyen âge regardez ce qui se passe chez nous.

La France, grâce aux principes de 89 habilement exploités par les Juifs, tombait en dissolution. Les Juifs avaient monopolisé toute la fortune publique, tout envahi, à part l’armée. Les représentants des vieilles familles, gentilshommes ou bourgeois, s’étaient divisés en deux classes : les uns se livraient au plaisir, avaient pour maîtresses des filles juives qui les corrompaient ou les ruinaient, des marchands de chevaux et des usuriers, juifs également, qui aidaient les filles. Les autres obéissaient à cette attraction de la race aryenne vers l’infini, vers le Nirwana indoue, le paradis d’Odin ; ils se désintéressaient presque du mouvement contemporain, ils se perdaient dans l’extase ; ils n’avaient presque plus pied dans la vie réelle.

    de vins. Le plus étonné a dû être ce pauvre Mickiewicz qui, en maintes occasions, notamment dans son livre populaire Ksieje Pielgrzyma a flétri « l’âme sordide des Juifs et leur vil esprit. »

    Nous verrons, dans ce livre, Renan tombé plus bas encore.