Page:Du Bois de la Villerabel - La Légende merveilleuse de monseigneur saint Yves.djvu/17

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mince baſchellerie, mais les ames & les cueurs de ſes ſeigneurs eſtoient haultz & puiſſans en œupures de religion, bon exemple & charité, affables qu’ils eſtoient & pitoiables au poure monde. Craignant le Seigneur & réuérant ſa ſaincte loy, Dieu les auoit béniz en leurs hoirs. Deſià deux à trois beaulx enffans s’eſbaudiſſoient és cendres caſaniéres de Kermartin, quand ung nuictée que la clair argentoit les doubles de la falle baffe où gifoient le fire & fa dame, Azou fuft foudain efueillée,

de canonisation de saint Yves, Himon f\u.ola\ Ivo de nobih genêt e piocieatus « & films domicelh zocaii Hadon, filn Domim TrancoUi (alias Ganareti), de « Villa-Martini, mihtis — Enquête de canonisation de saint Yves Manus- crit de la bibliothèque de la nlle de Saint Brieuc, 1 ecemment publie par les soins et aux fiais d’un gtoupe de bibliophiles bidons, sous ce hhe Monuments originaux, de l’histoire de saint Yves Saint-Bi teitc, imp Pi ud’homme, iSSj

La maison de Kermartin, origmane de 1 evêche de Tieguiei, poitut Ung ejcuffon engiaze dune aoix engitjlee aiec qualUe aigles a deux têtes de fable en champ d’oi Azec ung devife en dejjus contenant ces mots A. toutz ditz (Ptoces- zerbal de l’ctat de la chapelle de Kermaitin, en iboi Archnes départementales des Cotes-du-î\oid, sens G, fonds du chapitre de luguur) Guy Le Borgne, en son Ai moi lai heton, édition de 1667, donne pour irmes aux seigneuis de Kei martm d’01 a la ci oix engi ejlie de fable cantonnée de quati e alei ions de mefiue, et poui devise A tous dix

La premieie version de ces aimes et de\ises étant prise d’après un mo- nument du x\e siècle, nous semble piefcrable