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droit, et le lièrent sur le bras droit de la croix ; un d’eux lui appuya les genoux sur la poitrine pour comprimer les mouvements d’angoisse ; un autre lui ouvrit la main ; le troisième, au milieu de la main ouverte, appuya la pointe d’un clou, et, de cinq coups de marteau, cloua à la croix cette main qui ne s’était jamais étendue que pour bénir !
Au premier coup de marteau, le sang jaillit au visage de celui qui ouvrait la main et de celui qui la clouait.
Jésus poussa un cri de douleur.
Les bourreaux passèrent à la main gauche ; mais ils s’aperçurent qu’il s’en fallait de deux ou trois pouces que cette main n’atteignît la place à laquelle elle devait arriver.