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Bavarois qui était mon domestique à Munich. Il avait remarqué que souvent, pendant des journées entières, j’étais occupé à dicter, et lorsqu’un de ses dignes compatriotes lui demandait quel était mon état, il répondait : Mon maître est dictateur.
Adieu, je dois déposer ici ma dictature et j’ai hâte de vous dire mille amitiés.
Votre tout dévoué,
- Henri Heine.
Mon bien cher Heine,
Nous réservons vos vingt francs, vous allez voir tout à l’heure pourquoi.
Lisez la lettre qui suit ce petit mot et ma réponse à cette lettre.
Vous êtes toujours mon grand, bon et spirituel ami.
Je demande à rester le vôtre.
- Alex. Dumas.
Et celle-ci encore :
- Paris, 31 juillet 1855.
- Mon cher Monsieur Dumas,
Malgré l’avis publié en tête du Mousquetaire,