usages, en étudiant des « gens du vulgaire ».
On me dira que tout cela est bien fini. J’en demande pardon à mon contradicteur, mais cela dure. Tel volume, tenu pour livre trop galant, paraît aussitôt, de ce chef, sorti de la littérature. Et, sous un autre angle, le roman policier passe pour tout étranger aux belles-lettres. Comme si on ne pouvait pas faire du beau style, fouiller une psychologie avec profondeur, suivre les caprices et les soubresauts de la vie quotidienne, et centrer enfin une œuvre toute « classique », quoiqu’elle comportât quelques libertés, d’un égard amoureux, ou sous l’angle de la complication d’intrigues !…
Et que dirai-je encore des critiques qui jugent un livre en reprochant à l’auteur de n’avoir point fait ce que précisément le dit avait décidé de ne pas faire ? Un exemple est curieux : lisant Salammbô de Flaubert, Sainte-Beuve,