Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/277

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mes tant, que ferais-tu seul et sans moi sur la terre !… C’est convenu, mon chevalier, si je succombe, tu te tueras !

Jeanne achevait à peine de prononcer ces mots, lorsque la porte s’ouvrit. Barbe-Grise entra.

— Bonjour, Jeanne, dit-il tranquillement à sa fille ; puis l’embrassant au front : J’espère qu’à présent que tu as ton amant, tu vas te guérir au plus vite, continua-t-il avec le même sang-froid.

— Pourquoi cela, père, guérirai-je plus