Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/211

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que de m’enrichir de dépouilles françaises.

— Cette dernière désillusion me manquait ! Quoi, Louis, toi qui, naguère m’offrais, au nom de ton père, le comte de Morvan, mon frère, un dévoûment à toute épreuve, voila que le moment venu de tenir ta promesse, tu me repousses, tu t’éloignes de moi.

— Tu es injuste, Montbars. Tu me proposes de me faire ma fortune, je refuse. As-tu besoin de mon bras, es-tu exposé à un grand danger ? Alors, c’est