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montbars

Tenez, ma bien-aimée Françoise, reprit le comte après un léger silence, voulez-vous me permettre de vous dire toute ma pensée ?

— Je ne sache pas, Agrippa, que vous vous gêniez beaucoup avec moi : parlez !

— Eh bien, chère sœur, avant toutes les affections — même et surtout les politiques et les patriotiques — marchent les affections de famille : si vous m’aimiez réellement, au lieu de sacrifier