Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/318

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

nouillé, regardait brûler avec désespoir.

— C’est dur tout de même, se disait il, de voir s’en aller en fumée quatre livres quatre sols ! Ah ! gredin ! ça t’apprendra une autre fois à ne plus pécher. Tu n’as que ce que tu mérites !

Le sacrifice accompli, Alain se releva, poussa un profond soupir et sortit de l’église.

À ce moment, le chevalier de Mor-