Page:Durand - La pomme de terre, 1834.djvu/48

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d’être dit, que la farine céréale seule, n’ayant donné dans le principe qu’un quart en sus de pain, n’a pas dû en donner davantage dans les différens mélanges ; en conséquence, toute distraction faite de cette farine, la pomme de terre a donc fourni trois quarts de pain en plus que la céréale ; l’expérience le prouve, l’économie en cela est de la plus grande évidence et ne doit plus être mise en question.