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Franchise, semble scandaleuse aujourd'hui, 99.
Franklin, 309.
Frédéric-Auguste, II, 476.
Frédéric le Grand, 100, 130, 150, II, 4.
Frédéricque (Brion), II, 180.
Frère et la Sœur (le), comédie, II, 9.
Frèron, II, 376.
Friese (comte de), II, 480.
Frommann, 29.
Fürnstein, 55.
Fussli, 77.

G

Galien, II, 500.
Galotti (Emilia), drame, 311.
Gay (Delphine), II, 189.
Gemma d’Art, tragédie, II, 215.
Genast, II, 81.
Génie, est bon, II, 86.
Geoffroy Saint-Hilaire, II, 232, 329. Analyse de ses Principes, 483.
Géologie (poëme sur la), 133.
Gérard (le baron), 272, II, 473.
Gérard de Nerval, II, 158.
Gerhard, 295, II, 453.
Ghazeles, 66.
Gita-Govinda, II, 465.
Globe. Caractère de ses rédacteurs, 241. Leur but, 245. Leur maturité, 354. Leur ensemble, II, 37. Pourquoi Goethe le lit avec intérêt, 52. Restriction, 135. Juge bien le caractère allemand, 135. Sa critique de Gustave Wasa, 176. Projet des rédacteurs, 357.
Gloire. Comment on la gagne, II, 64.
Goethe. Portraits divers, 6, 11, 26, 45, 50, 76, 116, 152, 192, II, 7. Sa maison, 24. Caractère de ses premiers essais, 27, 28, 111. Sa jeunesse, 59. On n’a jamais été content de lui, 86. Sa foi, 86. Sa politique, 87. Il a abusé de l'activité, 92. Sa vie jugée par lui-même, 93. Sa vie placée dans une grande époque de l’histoire du monde, 100. Il n’a jamais aimé consulter et discuter quand il gouvernait, 102. Goût pour le silence, 114. Il se met bien au-dessous de Shakspeare. 122. Énumération de ses adversaires, 123. Sa vie n’est qu’un symbole, 131. Il s’est trompé longtemps sur sa vocation véritable, 173. Il s’est livré à des études trop variées, 176. Moyen pour éviter les visites fatigantes, 180. Ardeur pour les sciences, 197. Est-il un valet des princes? 199. Pourquoi il ne va plus au théâtre, 236. Il retrouve ses idées dans le Globe, 241. Sa vie intime, 257. Pourquoi il laisse beaucoup de lettres sans réponse, 289. Regrette-t-il le temps qu’il a consacré à l’étude de l’optique, 307. Sciences qui l’attiraient surtout, 309. Différence de son esprit avec celui de Lessing, 341. Analogies avec Kant, 342. Ses Chansons sont restées ignorées de la masse du peuple, 358. Il donne le sujet de Tell à Schiller, 361. Souvenirs de jeunesse, 398. Bonheur d’avoir possédé Schiller, 402. Pressentiments extraordinaires, 405. Difficulté de travail pendant sa vieillesse, II, 9. Il voudrait fuir chez les peuplades sauvages pour retrouver la vie naïve et franche, 17. Il déchargeait son âme de son irritation, en écrivant des Xénies qu’il ne publiait pas, 23. Ses ouvrages ne peuvent pas devenir populaires, 49. Écrivains auxquels il doit son développement, 70. Il a travaillé à la Physiognomonie de Lavater, 92. Pourquoi il supporte difficilement la contradiction sur la Théorie des Couleurs, 98. Goût pour la vie simple, 99. Sa liaison avec Schiller s'est formée au moment le plus favorable pour tous deux, 101. Nature de son talent pour les arts plastiques, 132. Ses lectures françaises, 135. Ce que le temps lui a donné, 148. Influence des grands écrivains français du dix-huitième siècle sur lui, 158. Un dessin, 167. Il a toujours été libéral modéré, 171. Il connaît seul la vérité sur la lumière, 174. Révolution de 1830 pressentie, 188. Les encouragements de Schiller lui ont fait produire beaucoup de poésies, 190. Comment il écrivait ses poésies, 192. Pourquoi il n’a pas composé de poésies politiques, 199. Attaques qu’on dirige sans cesse contre lui, 200. Il n’a jamais rien affecté, 201. Résignation douloureuse, 206. Deux coups d’État, 211. Ce qui le sépare de Bentham, 216. Jugement sur une poésie de sa jeu-