« Vous voulez dire sir Arthur Berryl ? »
Elle fut cependant touchée de compassion, quand son fils parla du dénuement de lady Berryl ; mais lorsqu’il en vint à rapporter ce que Mordicai lui avait dit, elle l’interrompit :
« Ô mon cher Colambre ! ne me répétez pas les propos impertinens de cet homme abominable. S’il s’agit réellement d’affaires, parlez-en à votre père, et, dans tous les cas, ne nous dites rien à présent ; car j’ai cent choses à faire. Grâce, Grâce Nugent ! j’ai besoin de vous, » ajouta-t-elle en sortant précipitamment.
Lord Colambre laissa échapper un profond soupir.
« Ne perdez pas espoir, » dit miss Nugent en suivant sa tante par obéissance ; « mais n’essayez pas de lui parler de cela davantage avant demain matin. Sa tête