Page:Edgeworth - L Ennui.djvu/478

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par an trois cents livres sterling ; je demandai que l’on continuât de payer à l’infortunée lady Glenthorn sa pension annuelle ; que la maison que j’avois bâtie pour Ellinor, et les terres environnantes lui fussent assurées pour sa vie, et que l’on acquittât toutes les dettes que je pouvois avoir contractées. Je recommandai, dans les termes les plus forts, M. M’Léod, comme un agent dont le talent et la probité seroient d’une très-grande utilité pour Christy.

Quand je présentai à ce dernier les demandes que j’avois rédigées par écrit, il prit une plume et alloit signer sans rien lire, mais je m’y opposai formellement.

Eh bien, dit-il, je vais prendre le papier, je le porterai chez moi, et je l’examinerai selon votre désir. J’espère que vous ne me croyez pas capable de