Dans une hélice géométriquement semblable, de diamètre D, el dont les vitesses à l’extrémité de la pale ont encore le même rapport, la résultante sera placée sur la droite homologue, et son intensité (1> sera Df . multipliée par le rapport des surfaces, c’est-à-dire par -j- : <l> = A V’t.»*. Mais nous savons que A ne dépend que de la direction de la vitesse V V relative à l’extrémité des hélices, c’est-à-dire de ou ^jy si l’on considère l’hélice de. diamètre D el si l’on appelle n son nombre de tours par seconde. On peut donc écrire ce qui peut prendre la forme ou Eu projetant <t> sur l’axe de l’hélice, on aura l’effort de traction F des deux pales par une formule analogue : Les composantes perpendiculaires à l’axe donnent un couple dont le moment C est proportionnel à ces composantes et à leur distance à l’axe, c’est-à-dire au diamètre de l’hélice : c= !’D‘4n5)> ou La puissance utile est le produit de F par la vitesse V. c’est-à-dire, puisque V = nD ( ^ ; P.="‘DV.(^)-La puissance motrice est le produit du couple par la vitesse angulaire 2 7m : p.=.«vàQ). «
