Page:Eiffel - La Résistance de l’air et l’aviation.djvu/36

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
17
MÉTHODES EMPLOYÉES

Et dans le vêtit : P’= 1.521, A’=28,9, P=8,928, h = 26,5, d’où : p’=i.5n,5f h*= 28,0 ; =1 ’1)54’ f/’-' = «2,46, = 2>355. De nouvelles expériences avec une vitesse plus forte que la première ont donné : d’où : p’= i.5o5, P’. = 8.Si7. ,/=i.5o4,d, II < /r,=33,8, U”=32,0 ; 1 h/ —1,954. £+L’ = 14.46, = 2,353. Les deux séries d’expériences sont bien concordantes. En répétant les mesures pour déterminer, comme nous l’avons dit. l’influence de la tige seule, on a trouvé : 0,320, 0,162. On a donc pour la plaque seule : p—p’ h’ 1,807, =2,192. Portons ces valeurs dans les formules précédemment trouvées : R» = 56,6 (1,807 + 2,192)=226,5 tjr. 1 i3,4 x • ,807 + 64,6 X 12,78 + 3,o4 X 2,192 = 10.37 9r‘ R = /226,5’-}- 1037*= io63 Qr. IgO : 226,5 77^ = o,a,S. 0= 12°,3.

?/

2’9’7 1.807 1,807 + 2,192 1,3175w. On en déduit le coefficient de résistance totale (voir p. 40) : ,/ R >o63 K = SV5 = <7735 x .00 = °>(>78 ;)’