Page:Ernest Renan - Cantique des cantiques, Calmann-Levy, 1884.djvu/175

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répondit à un jeune pasteur que troublait la nécessité d’admettre dans le canon biblique un chant d’amour : « Pour moi, dit avec vivacité l’illustre critique, j’estimerais qu’il manque quelque chose à la Bible, s’il ne s’y trouvait une expression pour le plus profond et le plus fort des sentiments de l’humanité. »


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