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4^ FABLES D'ESOPE
Lors luy respondit la Truye,
Esbaye, Qu'el n'avoit de luy affaire
Nécessaire^ Qu'il la voulloit décevoir
Pour avoir Ses Cochonnet! tant petis
Et gentilz. Et luy pleust sans plus parler
S'en aller, Car trop mieulx en son absence
Qu'en presence Ses petits cochonneroit.
Et seroit En plus grande liberté,
Seureté : Car ce fut pour son prouffit
Ce qu'il feit. En faulx amy, quoy qu'il die,
Ne te fie.
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