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Et toi, chêne battu par l’ardente tempête,
Qui dresses vers le ciel une sublime tête,
Ô Victor ! si mes vers, timide essaim d’oiseaux,
Recevaient en volant quelques gouttes de pluie,
De temps en temps permets que leur aile s’essuie
Et s’abrite sous tes rameaux !

Décembre 1833.