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Page:Eugène Le Roy - Nicette et Milou, 1901.djvu/108

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— Ne crains rien, ma Nicettou, je suis là, il n’y reviendra pas.

Lorsque la petite remonte à Chasseins, la Coulaude est sur sa porte, l’attendant :

— Te gêne pas, petite gueuse ! Le père, même le fils !

La Nicette passe sans répondre, suivie de ses deux chèvres.

Une heure après, Jean monte à son tour et la « boucatière » le salue :

— Bonsoir, monsieur Jean ! Avez-vous point rencontré votre père au moulin ruiné ?

— Vilaine sale ! Va-t’en trouver ton bouc !