Page:Euripide - Théâtre, Artaud, 1842, tome 2.djvu/146

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Le Chœur.

Allez et prospérez, bénissez l’heureux destin qui vous sauve. Ô déesse vénérable parmi les immortels comme parmi les mortels, nous ferons ce que tu nous ordonnes. Elle est bien douce à mon cœur, la promesse inespérée que je reçois. Ô glorieuse Victoire, sois la compagne de ma vie, et ne cesse pas de me couronner.

FIN D’IPHIGÉNIE EN TAURIDE.