Page:Féval - Le Bossu (1857) vol 1-3.djvu/229

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.



L’HÔTEL DE NEVERS.


(suite.)




IV

— Largesses. —


Ce devait être un bossu de beaucoup d’esprit, malgré l’extravagance qu’il commettait en ce moment. Il avait l’œil vif et le nez aquilin. Son front se dessinait bien sous sa perruque grotesquement révoltée, et le sourire fin qui raillait autour de ses lèvres annonçait une malice d’enfer.

Un vrai bossu !

Quant à la bosse elle-même, elle était riche, bien plantée au milieu du dos, et se relevant pour caresser la nuque.

T. II.
1