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IV

TONNEAU


Ces mots « tirez le cordon » n’étaient pas une figure de rhétorique. Un fil de fer terminé par un bâtonnet tombait du plafond entre le père Preux et sa cruche. Comme il se remuait avec une extrême difficulté et qu’il n’avait pas de domestique, il ouvrait lui-même sa porte selon le procédé des concierges.

Il tira le cordon dès que le nouveau venu eut prononcé ces paroles : « De la part du no 1. » Et aussitôt que le cordon fut tiré, un mouvement se fit dans un coin de la chambre, d’où sortit paresseusement Ton-