Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/137

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l’amour sans réserve comme ces enfants qui prodiguent leurs jouets à leurs compagnons de plaisirs, pour ensuite les reprendre. Rio-Santo reprenait ainsi tout ce qu’il avait donné à l’amour. Et il n’avait pas plus de remords que ces enfants dont nous venons de parler, parce qu’il était toujours de bonne foi. — C’était, comme diraient certains poètes, une magnifique nature.

Mais que Dieu vous garde, misses et miladies, de la rencontre de Rio-Santo !