Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/291

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geaient bien souvent ! Au bout d’un autre mois, on les vit revenir encore ; puis encore, au bout du troisième mois. Ce n’étaient pas des matelots.

Qu’était-ce donc ?

On alla jusqu’à parler de choses inouïes : — de ténébreuses associations, de criminels trafics, de brigands !… des sottises enfin dont les gens raisonnables auraient eu pudeur de s’occuper.

Quoi qu’il en soit, le lendemain du bal de Trevor-Place était justement le jour choisi par les prétendus matelots pour rendre visite aux bureaux de la maison de commerce Edward and C°. Vers onze heures du matin, on