Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/355

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Il était redevenu chrétien, parce qu’il était homme de cœur.

À cela n’avaient pas peu contribué ses habitudes d’enfance, les conseils de sa mère et surtout la douce société de ses jolies cousines.

Cet écueil une fois évité, Stephen, au sortir d’Oxford, fut ce qu’il devait être, c’est-à dire un jeune médecin pourvu d’une instruction suffisante, doué d’un esprit estimable et positif, d’un cœur susceptible d’aimer bien, mais à l’abri de ces passions terribles qui usent ou brisent une vie, et incapable aussi de ces sentimentales tendresses que chantent nos élégiaques modernes, et qui nous semblent à