Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/44

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dère, où l’équipage du bateau-amiral arriva presque en même temps qu’eux.

— L’eau est froide, dit le capitaine en mettant le pied sur les degrés ; — froide, ou le diable m’emporte !

Il n’avait perdu ni sa canne ni son chapeau.

Snail se secoua comme un barbet mouillé, miaula et se fourra sous le manteau de Saunie, — qui aboya.

Les autres chargèrent les ballots sur leurs épaules et remontèrent les ruelles sombres du quartier de la Tour, en ayant soin, cette fois, de ne point passer devant la douane.

Quant au bon capitaine Paddy O’Chrane, il