Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/122

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— Du diable si ce coquin sans langue n’est pas bon à quelque chose ! dit-il enfin ; — voici la signature de Dawes, Peebles and Sons, de Ludgate-Hill, imitée de main de maître… Tu auras une pinte de sherry ce soir, Roboam !… C’est bien… c’est ma foi très bien !

Roboam reçut ces compliments sans sourciller. Un seul sentiment était encore en lui : la crainte…

Je me trompe, milord. Il y avait autre chose en Roboam. il haïssait et espérait se venger.

Mon père mit de côté une demi-douzaine de billets, et rendit le reste à Roboam.

— Voilà qui va mieux, lord Silence, lui dit-il ; — beaucoup mieux. Tu arriveras à faire