Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/129

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bèrent et laissèrent à nu des visages de jeunes hommes. En même temps, toutes les physionomies changèrent comme si un masque, collé sur chacune d’elles, eût été tout-à-coup arraché.

Un murmure de bien-être parcourut la ligne des convives. Ismaïl déboucha des flacons ; les verres furent emplis jusqu’aux bords. — On but : les voix s’élevèrent, mais sans atteindre encore le diapason de l’orgie.

— Eh bien ! dit Ismaïl, comment trouvez-vous miss Susannah, mes compères ?

— Jolie, dit l’un.

— Charmante, ajouta un second.