Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/141

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lord, que d’aller chercher le pauvre Roboam en ce moment.

Mon père, cependant, me répéta l’ordre d’une voix tonnante, et, voyant que je n’obéissais pas, il leva sa main sur moi dans le paroxysme de sa rage…

— Et il vous frappa, milady ?… interrompit Brian, qui était pâle et qui tremblait.

— Non, milord. Sa main retomba sans m’avoir touchée, puis il s’élança au dehors. L’instant d’après, il reparut traînant Roboam par les cheveux.