Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/153

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faut pas le tuer… Sa mort n’enlèverait pas une boucle au paraphe de Dawes Peebles and Sons… Lâchez-le ; sa rage est passée. Je le connais : il va se tenir tranquille.

— Cela vous regarde, frère Ismaïl, répondit Reuben, qui lâcha le cou du malheureux Roboam.

Il y eut un mouvement d’effroi parmi les convives : chacun s’attendait à voir le muet s’élancer sur mon père ; mais il n’en fit rien.

— À genoux ! lui cria rudement ce dernier.

Roboam se mit à genoux.

Mon père fit tournoyer au dessus de sa tête le terrible bambou, mais il ne frappa pas.