Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/209

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des applaudissements étouffait le cri de mon âme.

Je me pardonne aujourd’hui en pensant que votre applaudissement se mêlait parfois aux autres. C’était lui peut-être qui perçait mon enveloppe d’indifférence, et ce que je prenais pour l’orgueil était une mystique joie d’amour…

— Susannah, me dit un soir mon père, vous allez être bien heureuse. Je veux faire de vous une lady, et parmi les lords qui vous applaudissent chaque jour, vous allez choisir, ma fille…