Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/241

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jamais que lorsqu’un méchant espoir traversait son esprit… Mais vous êtes plus à même que moi, milord, de conjecturer si cette circonstance cache encore quelque triste mystère.

— Vrai, Suky, reprit Ismaïl, ce serait très drôle… drôle au dernier point… Mais il n’a pas un sou vaillant, voyez-vous, et il n’y faut pas songer… Voyons ! oubliez cette folie, et préparez-vous à recevoir le prince Dimitri Tolstoï, ambassadeur de Russie.

— Et que peut me vouloir cet homme ? demandai-je avec colère.

Un sourire cynique vint à sa lèvre.