Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/349

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tiendrai alors ma promesse, miss Susannah.

» Que Roboam ne manque pas d’y venir, et qu’il épie mes moindres mouvements. — J’aurai besoin de lui.

» Au revoir, Suky ; — Je ne crois pas en Dieu ; sans cela je vous dirais : que Dieu vous bénisse ! — Vous serez riche quand vous voudrez, parce que vous êtes belle… Tâchez de vouloir. »