Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/371

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vêtus de noir montèrent les degrés de l’échafaud et déposèrent sur l’estrade une longue boîte de sapin. — La cloche sonnait le glas funèbre de mon père, et cette boîte, apportée par les hommes vêtus de noir, était le cercueil de mon père.

Il courut un frémissement dans la foule.

— Enfin ! enfin ! disait-on. N’était-ce pas là, milord, un digne complément à l’éducation que m’avait donnée Ismaïl, et ce que je voyais ici du monde, joint à ce que j’avais vu à Old-Court et au Club-d’Or, n’était-il pas une sorte de confirmation des enseignements de mon père ?…

Je pensai alors, — et je l’ai pensé long-