Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/390

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quefois, et que des gens sont morts pour avoir trop entendu !

— Milord !… balbutia la petite Française.

— Silence !… N’a-t-elle pas dit que la corde tourna, Maudlin ?… tourna lentement !… On dut voir le cadavre suivre, inerte, le mouvement de cette corde maudite… Ce dut être affreux… affreux !

Il passa la main sous sa cravate, comme si le souffle lui eût manqué tout-à-coup.

— Une corde autour du cou, Maudlin, reprit-il d’une voix strangulée ; — vous figurez-vous le mal que cela peut faire ?

Maudlin le regardait, étonnée.