Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/396

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Tyrrel se prit à rire.

— Avez-vous entendu parler, Maudlin, demanda-t-il, de ces hardis coquins qui font pacte avec le diable ?

— Pourquoi cette question, milord ?

— Que l’enfer confonde votre curiosité incurable, Maudlin !… C’est ce beau seigneur qui me fait penser à cette vieille histoire… La main mystérieuse dont il parle est quelque chose comme le diable, — et vous savez que le diable finit toujours par tordre le cou à ses clients tôt ou tard…

— J’appris que vous demeuriez dans Clifford-Street, Brian, disait pendant cela Susannah ; — voilà tout ce qu’on sut me dire.