Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/57

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était complète à ce sujet comme sur tous les autres, ce premier mensonge eut grand’peine à tomber de mes lèvres. — Mais je savais que mon père frapperait Tempérance, et j’avais pitié d’elle.

— Non, monsieur, répondis-je avec embarras, ce n’est pas Tempérance.

— Serait-ce donc Roboam ! s’écria-t-il en pâlissant.

— Oh ! non, monsieur.

Cette fois la réponse partait du cœur. Ismaïl me regarda en dessous.

— Cela sait déjà mentir ! murmura-t-il avec un narquois sourire ; — l’éducation ne