Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/119

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Tout-à-coup sa distraction chagrine fit place à une expression d’étonnement.

Le soleil, en pénétrant dans l’une des chambres du lord’s-corner, venait de lui montrer une jeune fille étendue dans un fauteuil et dormant.

Il y avait un an que Bembo venait presque tous les jours à Irish-House. Souvent il avait pu remarquer l’état de solitude et d’abandon de la petite maison de Belgrave-Lane, dont la destination mauvaise ne lui était point inconnue. Jamais il n’avait vu les contrevents s’ouvrir dans toute cette année.

Son premier mouvement fut exclusivement curieux ; puis une nuance d’intérêt attendrit