Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/334

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Oh ! lord ! quand on y songe, — voilà un événement !

Bess reprit à son tour le chemin de Cornhill, désolée d’avoir manqué par sa faute l’occasion de conter une lugubre histoire.

L’entrée de Stephen dans la maison de sa mère fut quelque chose de navrant. Bess avait raison. La pauvre mistress Mac-Nab était presque folle. Durant toute la nuit, elle était restée debout sur la porte ouverte de sa maison, espérant toujours, attendant le retour de ses nièces qui ne devaient point revenir.

Au matin, elle était rentrée dans la maison ; elle avait monté péniblement les deux