Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/372

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Nous n’affirmons point positivement ce dernier fait, de peur de passer parmi les charitable riverains de la Tamise, nos aimés compatriotes, pour un porteur de moustaches.

Chose à coup sûr effrayante et faite pour humilier davantage un cœur vraiment anglais, qu’une accusation de vol ou de faux en écriture authentique.

Notre pauvre homme regardait toujours Stephen avec une singulière expression d’avidité. Manifestement, il avait grand désir d’aborder le jeune médecin ; mais quelque chose le retenait : la détresse est si timide à Londres, pour avoir été si souvent rebutée !

Enfin, tandis que Stephen hésitait encore