Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/76

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Signore ! disait-il, signore !… ne refusez pas de me répondre !… Vous m’aviez défendu d’approcher de cette partie de la maison, et pourtant je veillais jour et nuit derrière cette porte… je vous désobéissais… et parce que j’ai quitté mon poste pendant quelques minutes !… Par pitié, répondez-moi !

Lovely flairait, tournait et gémissait.

— Tais-toi ! s’écria Bembo avec colère ; — tu pleures trop vite ; il n’est pas mort… À bas, Lovely ! tu vois bien qu’il dort ! Don José, au nom de Dieu, répondez-moi, don José !

Bembo essaya de soulever le corps du marquis, mais son émotion lui enlevait toute force ; il ne put. — Alors, il s’étendit tout de