Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/105

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


C’était sans doute quelque préparation bien puissante, car Clary poussa tout de suite un gémissement faible et tordit convulsivement les brins de paille qui s’étaient engagés dans ses doigts.

— Bien, bien, mon enfant ! murmura maître Rowley qui avait eu la précaution de lui fermer les yeux ; voulez-vous manger un morceau ?

Clary était retombée dans son immobilité.

— Qui ne dit mot consent, reprit l’aide pharmacien avec une sorte de bonhomie ; et, de fait, ma fille, vous devez avoir appétit… Attendez-moi un petit instant.