Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/108

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Maître Rowley était remonté dans sa chambre, et avait ouvert doucement le guichet.

— Elle aura perdu son dîner, bien sûr ! se disait-il, suivant son idée de tout à l’heure ; et pourtant il faut bien qu’elle mange ! Je déclare que je suis très embarrassé.

Maître Rowley se gratta l’oreille durant une seconde. Il n’en faut pas davantage aux grands esprits pour concevoir un plan.

Quand il se fut gratté l’oreille, il dit bien doucement et avec la voix que devait prendre compère le loup avant de dévorer le petit Chaperon rouge :

— Cherchez, ma fille, cherchez !… Dieu