Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/226

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— Je le voudrais, milord.

— Mais Votre Seigneurie ne songe pas au danger de compromettre le nom de l’empereur.

— Si fait… le nom de l’empereur doit être prononcé. La chose me paraît absolument indispensable.

— La chose me paraît absolument impossible, répondit le prince d’une voix ferme et avec réflexion.

— Ce ne peut point être votre dernier mot, milord, car la lettre de l’empereur…

— Pensez-vous donc que Nicolas pût con-