Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/240

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erreur : ce n’est pas tout… Si c’était tout, mon anecdote serait dépourvue de sel et je me verrais forcé de la terminer par quelque banale maxime, comme celle-ci, par exemple : « bien fou qui met son secret entre les mains d’une femme… » J’ai mieux que cela, milord.

— Qu’y a-t-il encore ? murmura le prince.

— Il y a que je suis venu visiter Votre Grâce dans un but ; — que ma requête a été une fois déjà repoussée, et que je reviens à la charge.

— C’est inutile, monsieur ! dit Tolstoï avec impatience.