Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/252

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

tant la pendule ; — je vais vous dire ce que j’attends de votre bienveillante obligeance et ce qui en résultera.

— Eh ! monsieur le marquis, répliqua le Russe avec une chagrine impatience, — quant au résultat, je me fie à Votre Seigneurie… Vous avez si bien ensemencé le hasard, que vous finirez par en venir à vos fins, malgré vos alliés eux-mêmes.

— Je ne prends point note de cet aveu, milord, dit sévèrement Rio-Santo, — qui me porterait à penser que je dois compter décidément Votre Grâce au nombre de mes adversaires…

Tolstoï garda le silence.