Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/330

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a priori. On regarde autour de soi ; on ne voit, aussi loin que peut se porter la vue, que lords plongés jusqu’au cou dans une orgie sans fin, stupide, insensée, abrutissante. — On est lord : on a le droit de faire comme les lords. — On se jette à corps perdu dans leur vie, vie de duels, de dettes, de rapts, coupée par quelques séances de représentations gravement hypocrites.

L’or coule à flots, puis l’or s’épuise et manque.

Que faire ?

Caton mourrait. D’autres s’arrêteraient et demanderaient au travail l’expiation d’une vie de folie. — Eh bien ! quelques uns meurent